Evelyne Morisset

Production et charge de projets
evelyne@lacentraledesartistes.com

Evelyne a débuté sa carrière dans le domaine médiatique. Après son diplôme en Art et technologie des médias – Animation et production radiophonique au Cégep de Jonquière, elle a travaillé comme journaliste et animatrice pour des radios communautaires du Québec. C’est en réalisant des entrevues avec des artistes et des spécialistes de l’organisation d’événements culturels qu’elle décide de retourner sur les bancs d’école. Désormais détentrice d’un certificat en Communication et d’un baccalauréat en Action culturelle à l’UQAM, elle veut mettre sa passion pour les arts et l’organisation de projet de l’avant et faire rayonner les artisans et artisanes de la culture.

Son mot préféré
« Possibilité »
Son premier emploi et le souvenir qu’elle en garde
À mes 15 ans, ma cousine m’a fait entrer à son premier emploi. Je cuisinais des muffins, des sandwichs et des salades au Muffin plus. Il y avait une belle dynamique entre les employés, mon patron et les clients. J’y ai d’ailleurs travaillé durant tout mon parcours académique, fin du secondaire, cégep et université, de Sorel-Tracy à Montréal. J’ai encore une belle relation avec mon ancien patron. Il peut encore m’arriver à l’occasion de remettre mes vieilles pantoufles pour aller le dépanner!
Son défaut qui lui a le plus servi
C’est un défaut que j’ai corrigé dans certains aspects de ma vie, mais je suis dernière minute. J’ai beau essayer de m’y prendre d’avance, je termine à minuit moins une. Par contre, avec le temps, ce défaut m’a appris à travailler sous pression et développer ma débrouillardise… qui sont des qualités essentielles en production!
La cause qui lui tient le plus à coeur
La prévention du suicide. Ma famille et moi avons traversé de durs moments à cause de ces décès précipités. Il s’agit d’un sujet qui est encore trop tabou dans notre société. Je crois que c’est, entre autres, en en parlant davantage que cela permettra de faire avancer les choses et que d’autres familles n’aient pas à vivre cette épreuve.
Sa devise, sa meilleure réplique ou son épitaphe
« I did it my way ». Une phrase qui est d’ailleurs tatouée sur mon épaule en l’honneur de mes grands-parents. Lorsque le moment sera venu de faire un dernier regard sur ma vie, je ne veux avoir aucun regret et avoir vécu la vie qui m’a été offerte tel que je l’aurai souhaité.